Un soin d’accompagnement :
Le shiatsu est ici un soin d’accompagnement destiné à améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’un cancer et ce, tout au long de leur parcours de soins.
Bienfaits :
- améliorer la tolérance des traitements anti-cancéreux (opération chirurgicale, chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie, hormonothérapie, thérapie ciblée)
- atténuer les effets secondaires tels que les douleurs musculaires et articulaires, les répercussions sur le sommeil, la fatigue, les dérèglements intestinaux, les bouffées de chaleur, les paresthésies…
- détendre le corps grâce à une approche holistique et à l’aide de pressions attentives au ressenti corporel et mental de la personne,
- aider à se réapproprier son corps avec un travail notamment autour des éventuelles cicatrices,
- aider à renforcer la circulation du système lymphatique,
- apporter une détente psychologique notamment pour apaiser les émotions, calmer le mental et redonner la place à des pensées positives.
Le shiatsu à l’hôpital :
Depuis quelques années, le shiatsu s’intègre de plus en plus dans des unités de soins hospitaliers et notamment dans les unités dédiées au parcours en cancérologie (le CHU de Nantes, le CHU de Poitiers, les Hôpitaux universitaire Mondor à Créteil, l’hôpital Cochin Port-Royal à Paris).
De nombreuses organisations telles que Ligue contre le cancer, Roseup ou LISA proposent également le shiatsu auprès de leurs membres.
Mon engagement :
Pour mieux vous accompagner, j’ai suivi une spécialisation, composée de plusieurs modules, en shiatsu cancérologie. Ces formations sont proposées en partenariat avec la Ligue contre le Cancer et l’Institut du Sein d’Aquitaine et animées par Fanny Roque, praticienne, formatrice et présidente de la Fédération Française de Shiatsu Traditionnel.
Je continue à me former régulièrement pour vous accompagner au mieux dans votre parcours. Je suis actuellement une formation en Do In spécifique au cancer du sein.
Contre-indications :
– risque de phlébites ou sous traitement anti-coagulant non stabilisé en post-opératoire
– risque avéré d’AVC ou d’hémorragie interne ou d’anévrisme